Le chemin est ardu, mais sans solidarité et coordination entre tous ceux qui vivent et travaillent ici, il sera impossible de renverser les déséquilibres qui persistent dans la société. Et de le faire… ensemble. Au sein de nos associations, qui doivent se prononcer chaque fois qu’elles le jugent nécessaire. Au sein de nos fédérations d’associations, qui doivent coordonner ce travail. Et au sein d’une organisation nationale qui doit organiser le débat sur les enjeux et les difficultés identifiés par ses membres.

Sans organisation collective forte, notamment parmi les étrangers, la voix de la majorité des résidents restera étouffée, et une véritable société civile inclusive ne pourra jamais émerger au Luxembourg. Sans les associations des étrangers il n’y a pas de vivre ensemble au Luxembourg.