La nature volontaire du CNE, constitué par des membres, en ce qui concerne sa partie élue, de la société civile (et non pas par des professionnels du secteur tel que pour le Conseil Économique et Social), rend son fonctionnement potentiellement défaillant. Un mandat de 5 ans où tous les membres, qui pour la grande majorité ne se connaissent pas entre eux, sont appelés, dès les premiers jours à participer, entre autres, à (i) l’élection d’un président et vice-président, (ii) la constitution de commissions et nomination de ces rapporteurs, (iii) la rédaction d’un règlement d’ordre intérieur, et tout cela sans un soutien technique, est destiné à échouer. Nous l’avons vu avec le mandat précédent et nous commençons à le voir dans le mandat en cours.