Pour une inclusion réussie il faut donc veiller à inclure dans ce débat les lois sur la langue, les associations, le CNE, et les CCCI. Et il faudra repenser l’approche de l’État en ce qui concerne sa façon de communiquer (dans les deux sens) avec les étrangers : c’est aux étrangers aussi de choisir, librement, la façon dont ils veulent s’organiser pour participer à la vie de ce pays qui est aussi le leur.